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Les émotions ne sont pas sujettes à la condamnation, à la culpabilité ou aux jugements de bien ou mal...uniquement les actions sont bonnes ou mauvaises.[ 13 ] Après le concept mystique du péché originel, peut-être le concept plus subtilement dommageable projeté par l'éthique chrétienne est le jugement moral des émotions. Particulièrement malveillantes et nuisibles, on retrouve les condamnations des émotions du Sermon sur la Montagne: "Mais je vous le dis, quiconque regarde une femme avec désir, a déjà commis l'adultère dans son coeur." En condamnant les émotions humaines, les néotricheurs Chrétiens ont découvert un outil efficace pour condamner tout le monde...pour rendre tout le monde coupable, les rendant plus faciles à contrôler pour leur extraire des valeurs. Étant donné que tout le monde par nature possède une grande variété de sensations automatiques ou d'émotions qui ne peuvent pas être directement contrôlées ou arrêtées ou fermées, tout le monde est rempli du "péché" ou de la "culpabilité" de style chrétien.
Même si tout le monde expérimente innocemment des émotions négatives, irrationnelles, personne n'est jamais obligé de poursuivre ces émotions négatives ou irrationnelles. Et étant donné que seulement les actions humaines sont sujettes au choix, seulement les actions humaines sont sujettes au jugement moral.
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[ 13 ] Un individu, cependant, est toujours responsable pour toutes ses actions. Même si une action est un accident ou une erreur honnête, une personne demeure toujours responsable pour chaque action. Ainsi par nature, une personne doit éventuellement payer pour toute erreur, même celles accidentelles ou innocentes. Les erreurs innocentes, cependant, ne portent pas les conséquences sérieuses à long terme des erreurs volontaires ou malhonnêtes.
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